23 novembre – 26 janvier Vernissage le 23 novembre de 18h à 21h Les rapports que nous entretenons avec le monde ne sont pas homogènes mais toujours composites. Ils s’expriment ainsi de différentes manières selon le contexte de leur existence et de la personne qui initie ces rapports. Selon Charles Stepanoff dans son livre Attachements, Enquête sur
Territoire 6.5
En partant de l’observation que leur collectif LA DYNAMIQUE DES CHOSES agit comme une sorte de petite société matriarcale où l’horizontalité, la solidarité, la bienveillance et la sensibilité à l’environnement sont au cœur de leur processus de création et production, les artistes du collectif ont choisi de créer, pour le festival Territoire, une performance collective
(Re)connection
avec asinnajaq (CAN), Duo Y (FR), Aurélie Ferruel & Florentine Guédon (FR), Hippolyte Hentgen (FR), Suzanne Husky (FR), Mathilde Rosier (FR), Elizabeth Stephens + Annie Sprinkle (USA) & Yumi Takeuchi (JP/FR). Il existe d’autres rapports au monde que celui défini par la pensée occidentale qui a depuis longtemps acté la séparation des humains par rapport au reste du vivant et donc
Jeannie Brie_Singuliers Pluriel
« Tous les souvenirs de ma vie ne sont que des durées d’images seulement corrompues et en parties aveuglées par cette tache noire qui représenterait ma présence passée en elles ou l’adossement de tout mon espoir d’y avoir été, d’y demeurer encore ; des images sans cesse inachevées par cet imprescriptible lien que j’appelle mon passé »
Camille Tsvetoukhine_Sous l’hégémonie du chant de blé
La notion de récit est au cœur du travail de Camille Tsvetoukhine. Ce qui l’intéresse notamment, ce sont les techniques et les structures narratives qu’un récit met en œuvre. En ancrant dans le réel la narration de ceux qu’elle compose à travers ses œuvres, installations et expositions, elle questionne ce réel pour en soulever les
Oriol Vilanova_Nous sommes arrivés jusqu’ici
Pour dire le visible, mieux vaut se taire. Tristan Tzara Le travail d’Oriol Vilanova est une invitation à interroger notre attitude à regarder le monde, les choses qui nous entourent et à questionner l’habitude que nous avons d’organiser cette vision sur le modèle dualiste de la pensée moderne qui nous a conduit à l’agencer de
Territoire #6
Territoire, c’est un programme de performances dans l’espace public qui a lieu à Nancy durant l’été.Territoire, c’est des artistes invité·e·s à réfléchir et questionner, à travers leurs pratiques respectives, l’usage de la ville et de ses espaces. Territoire, c’est ainsi la rencontre entre l’inattendu, l’insolite et le quotidien, c’est une invitation à regarder et pratiquer
Elisa Pône_La troisième nuque
Le travail d’Elisa Pône s’entend dans la durée, celle d’une recherche polymorphique dont les ramifications s’expriment dans une multiplicité de formes et de langages. Au contraire de son écriture complexe, le propos qui s’y déploie énonce une unité d’intentions, celle de rendre compte de l’état circonstancié d’une époque contemporaine aux temps déliés, où s’entremêlent la
Valerian Goalec_Entrée libre
Ainsi que l’indique Georges Perec dans son livre «L’infra-ordinaire», ce qui nous parle, c’est toujours l’événement, l’insolite, l’extra-ordinaire, comme si la vie ne devait se révéler qu’à travers le spectaculaire mais jamais « ce qui se passe vraiment, ce que nous vivons, le reste, tout le reste, […] Ce qui se passe chaque jour, le banal,
Thomas Julier_On display
« Une représentation c’est un processus de construction à partir de l’action de la réalité sur nos sens mais également des acquis de notre mémoire, des fantasmes qui nous font privilégier certains aspects plutôt que d’autres. Cette construction est ensuite projetée sur le réel » (1) La pratique de Thomas Julier se déploie à travers l’image, fixe